Une symphonie d’avidité résonne dans les salles de marché,
Où les fortunes sont jouées et fixées sur des partitions.
Le costume du diable est fait sur mesure, taillé à la main,
sa fourche remplacée par des contrats entrelacés.
Dans les salles de réunion et derrière les coulisses, là où les secrets se dévoilent,
il négocie des deals dans des devises que l’on ne peut imaginer.
L’économie, l’amante de cette danse,
oscille au rythme des risques et des opportunités.
Les marchés palpitent, un battement de cœur doré,
tandis que le diable décompte les profits audacieux et ceux tenus secrets.
Dans la monnaie des rêves, où les ambitions s’échangent,
le livre de compte du diable, où les destins s’entremêlent.
Les PDG dansent avec les ombres à la lueur des bougies,
concluant des accords dans l’obscurité de la nuit.
Les illusions s’envolent, dans le domaine du diable, où l’erreur semble juste.
Le toucher du marionnettiste, un maestro en la matière.
Les montagnes russes du marché, comme une folle aventure de rue,
Le diable ricane, face à la marée emplie d’avidité.
Des stratagèmes et escroqueries, dans le brouillard des entreprises,
Dans le domaine du diable, où les messages sont en flammes.
Des travailleureuses à la chaîne, sous l’emprise du diable,
Dans la course au dollar, là où les rêves glissent souvent.
Les deals du diable, un jeu de rue risqué,
Laissant les gens brisés, dans un monde qui n’a pas de nom.
Au nom de leur puissance, la danse se poursuit,
Sur un rythme différent, le battement de la vie.

